faustine seilman 'silent valey' presse - Collectif Effervescence

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Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 ... et les senzas disséminés, à Rue des Cascades de Yann Tiersen dans le duo.
FAUSTINE SEILMAN ‘SILENT VALEY’ PRESSE Artiste Album Label Référence

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FAUSTINE SEILMAN ‘Silent Valey’ Effervescence FRVsens18

Format Date de sortie Distribution Promo

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CD 12 Novembre 2007 Differ-Ant [email protected]

On ne pourra que s’agenouiller devant la beauté de son jeu de piano, qui doit autant à Satie qu’à Martin Duffy période ‘Train Above the City’ et dont le son digne des ‘Disques du Crépuscule’ est rendu de manière majestueuse sur des morceaux tels que ‘Mum’ ou ‘Nocturne, Italy Square’. Magic Tantôt grave et mélancolique, tantôt tout en chuchotement, le ton du premier album de Faustine Seilman nous plonge dans son univers imprégné de la musique anglo-saxonne de Cat power et Leonard Cohen. Sensationrock.com Faustine Seilman propose à son tour un album sur le label nantais et entre, avec “Silent Valley”, au panthéon des demoiselles qui comptent, aux côtés des Julie Doiron, Regina Spektor, Shannon Wright, Edith Frost et autres. benzinemag.net / ondefixe.net / poprevuexpress.blogspot.com Silent Valley est ainsi une oeuvre belle, chaotique et trouble où chaque moment serein peut être mis à mal par un son distordu, et une folie latente. Peu ont emprunté pareil chemin (Half Asleep, Konki Duet) et Faustine Seilman affirme une personnalité forte et ambivalente. Premier essai, premier coup de maîtresse. Full Of Sound On pense à Shannon Wright évoluant sur scène avec Yann Tiersen après leur superbe album commun, à Cat Power, à Leonard Cohen, aux ambiances tempétueuses et arides du label Constellation et à la défunte chanteuse du Velvet Underground. […]Attention, le trajet risque de laisser des traces indélébiles sur les âmes sensibles… Foutraque.com / Concertandco.com Sa personnalité affirmée ose les contrastes et multiplie les bonnes idées, celles qui transforment une bonne chanson en moment mémorable. Ocotopus Une voix grave et maîtrisées à la Cat Power, quelques notes de piano et la magie agit. Le Sceno

Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 03 45 67 www.collectif-effervescence.com - [email protected]

Silent Valley évolue entre l’intimité d’un piano seul, accompagné de la voie grave et théâtrale de Faustine Seilman, dans un élégant dépouillement acoustique, et l’orchestration plus énergique et complexe de parties arrangées dans une tradition post-rock chère aux productions du label Constellation. […] Chez la demoiselle, on retrouve du Kate Bush ou du Tori Amos, et, parmi de plus récentes références, du Regina Spektor ou Shannon Wright. AutresDirections.net Il y a l’envie d’en découdre dans ces morceaux complexes aux rythmes chahutés, il y a la volonté d’imposer une forme d’écriture « à la française » (accordéon, piano et balais) mais on sent encore que le lion rugit plus fort afin de ne pas laisser voir sa fragilité. […] On songe à Pascal Comelade dans les pianos jouets et les senzas disséminés, à Rue des Cascades de Yann Tiersen dans le duo piano violon tourmentée de « The Man Who Said No » ou au Solo Piano du « Parisien » Gonzales sur l’instrumental « Nocturne, Italy Square ». Fluctuat.net Ce premier disque émeut et empoigne, attrape au collet et ne vous lâche plus d'un pouce, carnivore, envoûtant, cajoleur, clair et obscur à la fois. Et Faustine Seilman de faire une entrée fracassante dans la cour des grandes... trentetroistours.com Une voix clairement balisée par les ambiances hors du temps dessinées par le Silver Mount Zion. […] L’hiver peut bien se pointer. On vient de trouver la musique qui l’accompagnera. WIK Les compositions de piano se noient délicieusement dans des arrangements délicats ou enlevés, servis par quelques jeunes talents et complices de la scène locale. Faustine Seilman Orchestra est un ensemble d’une grande cohérence tant on imagine que ce petit bout de femme, à l’inspiration poignante, aurait eu du mal à défendre seule ses amours pour le post-rock de la famille Constellation. Tohu Bohu

PARTENARIATS >>> Krinein.com - Jeux concours du 12 au 25 novembre 2007 / 5 CD à gagner

PLAYLIST >>> Radio Béton – Tours – Playlist de l’émission « Planet Of Sound » Le 11 Septembre 2007 - Diffusion du titre « In A Silent Valley’ Le 21 Août 2007 – Diffusion du titre « Puppet » >>> Radio Libertaire – Sepuku / Playlist du 21 Octobre 2007 – Diffusion du titre « silent valley » >>> Radio Campus Anger – Octobre 2007 - Sincerely Yours >>> FM Plus Montpellier – Chronique + diffusion d’un titre >>> Tropique FM – Octobre 2007 – « Silent Valley » >>> Résonance – Novembre 2007 >>> L’EKO des Guarrigues – 31 Octobre 2007 – ‘The Ballad Of A Starving Man’ >>> Radio Perigueux – Novembre 2007 – ‘Silent Valley’ >>> Radio Campus Rennes – Novembre 2007 – ‘In a Silent Valley’ >>> « Keys are Bound To Be Found » – sur la compilation ‘french Zone Vol.3’ disponible en téléchargement gratuit sur http://www.01audio-video.com/

PRESSE ECRITE Silent Valley est une vallée du nord de l'Irlande qui, selon la légende, a longtemps connu un silence de mort et c'est aussi le nom du premier album de Faustine Seilman (My Name Is Nobody) qui raconte la souffrance de l'absence et les silences intérieurs. Une voix grave et maîtrisées à la Cat Power, quelques notes de piano et la magie agit. Et quand une orchestration plus sophistiquée accompagne la belle nantaise (toy piano, xylo, sax) ou que des parties plus instrumentales qui ne sont pas sans rappeler la furie retenue de Mogwai, complètent ce bel album, on plonge sans forcer dans cette musique profonde et cet univers si personnel. Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 03 45 67 www.collectif-effervescence.com - [email protected]

Le Scéno – Angers – Suzie – Décembre 2007 FAUSTINE SEILMAN – SONATE UNDERGROUND La Nantaise nous emmène dans son univers ambivalent. Beau comme un ciel d’orage. Effervescence est un label nantais qui porte bien son nom : dix-huit références au compteur et la particularité pour les membres de ce collectif de travailler les uns pour les autres. Pour cette dernière référence, Vincent (My Name is nobody) à la guitare, Jonathan (This Melodramatic sauna) à la basse et Miguel (Audiopixel) à la production sont là pour aider à faire de Silent Valley une oeuvre unique. Son auteur s’appelle Faustine Seilman, une frêle jeune fille, pianiste sensible de formation classique et fan de Shannon Wright. Côté lumière, Silent Valley est une musique de chambre en mode mineur ornée de dentelle et de taffetas. Mais, derrière ce coeur passionné et ses belles manières se cache une âme plus ténébreuse. C’est un cabaret des illusions où les apparences sont trompeuses ; un peu comme si les Soeurs Brontë s’étaient perverties chez le Velvet Underground. Silent Valley est ainsi une oeuvre belle, chaotique et trouble où chaque moment serein peut être mis à mal par un son distordu, des instruments tordus (scie musicale, sanza, accordéon) et une folie latente. Peu ont emprunté pareil chemin (Half Asleep, Konki Duet) et Faustine Seilman affirme une personnalité forte et ambivalente. Premier essai, premier coup de maîtresse. Full of sound - Denis ZORGNIOTTI – Décembre 2007 Dans la famille Effervescence, je demande la fille. Pas vraiment perdue dans cette écurie très masculine, FAUSTINE SEILMAN se fraie un chemin audacieux avec son très attendu premier album Silent Valley. Ce recueil riche en mélancolie, trahit des émotions contrastées que nous compte une voix fragile bien que déterminée. Les compositions de piano se noient délicieusement dans des arrangements délicats ou enlevés, servis par quelques jeunes talents et complices de la scène locale (Vincent/MY NAME IS NOBODY - Rachel/KLAKTONCLOWN - Carla/MANSFIELD TYA…). Ainsi, le Faustine Seilman Orchestra est un ensemble d’une grande cohérence tant on imagine que ce petit bout de femme, à l’inspiration poignante, aurait eu du mal à défendre seule ses amours pour le post-rock de la famille Constellation. Guitares, accordéon, harmonium, et choeurs ornent ces tourments que l’on rêve d’effleurer pour tenter seulement de les apaiser. TOHU BOHU – Novembre 2007 – Cedric Huchet Défricheuse, sensible et prolifique, la maison de disques indépendante Effervescence est à l’origine de plusieurs albums français de référence en termes de pop aventureuse au cours de ces dernières années. Son unité, le label la trouve autour d’un collectif de créatifs solidaires unis le plus souvent pour le meilleur, qu’il s’agisse de design (Julien Courquin), ou d’engineering sonore (Miguel Constantino). Liés par ce Manifeste, les groupes du label partent à la conquête de territoires musicaux trop rarement défrichés et toujours surprenant, même si on peut les regrouper autour de deux axes principaux. D’un côté, un post-folk fragile et inspiré – Dont l’apogée est sans nul doute constituée par le cultissime Lay Your Soul Bare de Patriotic Sunday (2005) – et de l’autre un mathrock de méchants dont le TransPanda de Room 204 avait, la même année, posé les premiers jalons. Œuvres de premier choix, les deux nouveaux enregistrements que nous offre Effervescence cet Automne empruntent à ces deux direction tout en les renouvelant. Faustine Seilman, qui représente avec grâce l’école acoustique et mélodique du label, propose des morceaux orchestrés de manière baroque et lumineuse par six musiciens. On relèvera notamment la qualité de l’ensemble choral qu’elle a su réunir (The Man Who Said No, Soap Opera). De manière plus décisive encore, on ne pourra que s’agenouiller devant la beauté de son jeu de piano, qui doit autant à Satie qu’à Martin Duffy période Train Above the City et dont le son digne des Disques du Crépuscule est rendu de manière majestueuse sur des morceaux tels que Mum ou Nocturne, Italy Square. MAGIC RPM / Novembre 2007 / Gérôme Guibert ••••°° Dans la vallée, entre chien et loup. Faustine Seilman a décidé de planter le décor de Silent Valley sous cette lumière à la fois inquiétante et rassurante. Alors adieu tristesse et bonjour mélancolie. Son premier album à sortir le 12 novembre chez Effervescence, est dédié à son père décédé il y a maintenant dix ans. “Je n’ai aucun souci avec ça. Silent Valley est la photo d’une époque. Oui, il est dédié à mon père. Pourtant ce disque est une majuscule pour commencer une nouvelle phrase”. Mais avant de lire trop vite entre les lignes, revenons au début de l’histoire. Une histoire rythmée par des notes de piano. “J’ai toujours voulu en faire. Ma mère, mais surtout ma grand-mère me jouait des morceaux classiques”. L’instrument ne la quittera alors plus. Depuis l’âge de sept ans, Faustine “bidouille des trucs”. Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 03 45 67 www.collectif-effervescence.com - [email protected]

Aujourd’hui, à 26 ans, la jeune femme a fini de chercher et a trouvé sa voix. Une voix clairement balisée par les ambiances hors du temps dessinées par le Silver Mount Zion. Pour arriver à cette filiation naturelle, elle a su s’entourer d’un groupe dans le lequel on trouve un Fordamage, le Nobody, une Moon Palace et le Melodramatic Sauna. “À la base, c’est mon projet. Pourtant, ils sont tous aussi importants que moi”. Et puis, je n’avais pas assez de couilles pour proposer mes compositions en solo”. Ce jeu collectif donne de la chair à ces comptines pour somnambules. L’hiver peut bien se pointer. On vient de trouver la musique qui l’accompagnera. //AB WIK / 10 Octobre 2007

WEBZINES Liée à plusieurs membres du Collectif Effervescence (My Name Is Nobody, Melodramatic Sauna), c’est donc presque tout naturellement que Faustine Seilman propose à son tour un album sur le label nantais et entre, avec “Silent Valley”, au panthéon des demoiselles qui comptent, aux côtés des Julie Doiron, Regina Spektor, Shannon Wright, Edith Frost et autres. Enregistré en compagnie de musiciens talentueux, l’album nous emmène dans un petit voyage au pays de la mélancolie, avec des folk-songs bouleversantes, pudiques et sans pathos, qui rappellent, de ce point de vue là, les filles de Mansfield Tya ou encore d’Half Asleep. Tout aussi inspirée par les mélodies tristes, Faustine Seilman pare ses chansons de jolis arrangements dans lesquels dominent le piano mais aussi plein de petites choses (accordéon, senza, harmonium, scie musicale…) qui tirent par moment l’album plus vers le post-rock que vers la folk music. Mais au fond peu importe les genres, tant la musique de cette demoiselle semble évoluer au-dessus de tout ça, semble prendre un peu plus de hauteur à chaque nouvelle écoute.. Entre calme et tempête, “Silent Valley” égrène ses titres et laisse au final l’impression de tenir là un album plein de sensibilité, beau et triste à la fois, évocateur d’une certaine forme de spleen… sorte de bande son idéale des âmes à la dérive. benzinemag.net / ondefixe.net / poprevuexpress.blogspot.com – Benoit Richard Onirique, délicat et faussement calme, le premier album de Faustine Seilman marque durablement dès la première écoute… Présenté avec un très joli artwork énigmatique, Silent valley contient des morceaux intrigants portés par une voix étrange, un piano insoumis et des arrangements très évocateurs (chœurs élégiaques, petits détails sonores rajoutés artisanalement, guitares discrètement nocives, rythmiques aussi rares que vrillantes). Les paysages sonores décharnés, mélancoliques et balayés par un vent glacial sont illuminés par le chant de Faustine Seilman à la fois baroque, chaleureux, débordant de vie et ne voulant pas se fixer dans un registre aigu ou grave. On pense à Shannon Wright évoluant sur scène avec Yann Tiersen après leur superbe album commun, à Cat Power, à Leonard Cohen, aux ambiances tempétueuses et arides du label Constellation et à la défunte chanteuse du Velvet Underground, une femme fatale du nom de Nico. La vallée silencieuse brossée sur la pochette et tout au long du disque mérite d’être visitée seul, à la tombée de la nuit ou au lever du jour. Attention, le trajet risque de laisser des traces indélébiles sur les âmes sensibles… Foutraque.com / Concertandco.com – Novembre 2007 – Pierre Andrieu Cette vallée silencieuse nous emmène en Irlande du Nord. Là-bas, on y raconte que des années durant, pas un seul être vivant n’y a pénétré, engendrant tristesse et désolation silencieuses. Le sujet, s’il a de quoi rebuter, se trouve heureusement transcendé par les compositions sensibles, toujours, et inspirées, souvent, de la Nantaise Faustine Seilman qui, pour le coup, renonce à ses anciennes habitudes (le simple duo piano–voix). Désormais entourée de son compagnon Vincent Dupas (My Name Is Nobody) à la guitare, de son bassiste de frangin Jonathan (This Melodramatic Sauna), du batteur Pierre Marroleau et de la multi instrumentiste Rachel Langlais, Faustine Seilman ne réinvente bien sûr pas le genre, dominé depuis toujours par Shannon Wright (sans même parler de l’extraordinaire dernier album de PJ Harvey). Toutefois, sa personnalité affirmée ose les contrastes et multiplie les bonnes idées, celles qui transforment une bonne chanson en moment mémorable. Ainsi, les quelques notes d’accordéon de l’introductif "Keys Are Bound To Be Found" touchent et séduisent, les accents de la grande Barbara décuplent l’humanité sensible de "The Man Who Said" (magnifié par le violon de Carla Pallone), le solo de piano "Nocturne, Italy Square" confirme toutes les capacités de la jeune femme à faire vibrer sans recourir aux artifices dictés par les marchands du temple. Certes, deux ou trois titres plus dispensables nous abandonnent quelques instants, le temps pour nous d’aborder le venin post rock de "Silent Valley" et de déguster sur la fin Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 03 45 67 www.collectif-effervescence.com - [email protected]

de l’album le beau timbre de Faustine, entre colère et confession. Pour ne rien gâcher, l’album est superbement enregistré par Miguel Constantino, c’en est devenu tellement habituel qu’on en serait jaloux. Octopus en ligne – Novembre 2007 - Fabrice Vanoverberg 10 fois, 100 fois l'on a réécouté cette quatrième piste totalement instrumentale, cet interminable élancement dans notre coeur, cette partie de piano d'une rare intensité émotionnelle, ces notes qui tournoient dans les airs, ce Nocturne, Italy Square qui nous ferait presque oublier qu'autour de nous le temps continue d'avancer inexorablement. 10 fois, 100 fois, ce morceau s'est enchaîné corps et âmes avec le magnifique Sincerely Yours et sa voix poignante, 10 fois, 100 fois l'on a rêvé qu'il nous était adressé, rien qu'à nous. À l'instar de Shannon Wright, dont la jeune nantaise est très certainement une des plus grandes supportrices, Faustine Seilman possède cette capacité exceptionnelle de s'adresser à tout le monde en même temps tout en donnant l'impression de ne vouloir parler qu'à nous. Entre piano délicat (ou martyrisé avec fracas, ailleurs, pour notre plus grand bonheur) et guitares discrètes (celles de Vincent Dupas, alias My Name Is Nobody), ce premier disque émeut et empoigne, attrape au collet et ne vous lâche plus d'un pouce, carnivore, envoûtant, cajoleur, clair et obscur à la fois. Et Faustine Seilman de faire une entrée fracassante dans la cour des grandes... trentetroistours.com – Octobre 2007 Tantôt grave et mélancolique, tantôt tout en chuchotement, le ton du premier album de Faustine Seilman nous plonge dans son univers imprégné de la musique anglo-saxonne de Cat power et Leonard Cohen. L’album démarre sur les chapeaux de roue avec un premier morceau tout en rythme et presque pop qui nous prouve, si on en doutait, que Faustine Seilman ne manque vraiment pas de talent ni de punch ! Si la suite de l’album ne s’inscrit pas dans la même lignée rythmique, l’esprit un peu sombre lui demeure tout du long. Les deux morceaux sans paroles du disque, et notamment Nocturne Italy Square, permettent de prendre conscience qu’en plus d’une belle voix mélancolique la chanteuse s’avère être aussi une excellente pianiste. Mais c’est véritablement lorsque que la voix grave et sombre de Faustine Seilman résonne que l’album prend son envol. Et c’est presque parfois à regret que certaines mélodies prennent le pas sur le chant. Mais plus généralement, la légèreté et le rythme tout en retenue de l’accompagnement parviennent à sublimer les textes en anglais de la chanteuse et à donner une dimension supplémentaire à l’album. Les morceaux s’enchaînent bien sans tomber dans la monotonie. Faustine Seilman arrive à surprendre, notamment sur le ténébreux « Soap Opera » qui joue clairement sur le mélange des genres. L’album de Faustine Seilman est délicieux en ce qu’il ne se veut pas trop ambitieux, ce qui lui permet de garder sa fraîcheur du début à la fin malgré un ton résolument sombre. sensationrock.com – Setpembre 2007 Dans la famille Effervescence, je demande Faustine Seilman. Compagne du My Name Is Nobody en chef, soeur du talentueux Melodramatic Sauna, Faustine Seilman dévoile enfin son univers : ce que l’on peut dire immédiatement, c’est que Silent Valley est un disque totalement affranchi des hommes présents de la vie de son auteur. Enregistré en compagnie de ces deux musiciens, mais aussi d’un Fordamage, d’une Klaktonclown ou d’une Mansfield.TYA, au cours de séances assurées par Audiopixel, Silent Valley se présente, de prime abord, tel un bloc musical abrupt et violemment romantique. Composé au piano et arrangé à l’aide de ces différents intervenants, Silent Valley évolue entre l’intimité d’un piano seul, accompagné de la voie grave et théâtrale de Faustine Seilman, dans un élégant dépouillement acoustique, et l’orchestration plus énergique et complexe de parties arrangées dans une tradition post-rock chère aux productions du label Constellation. Du coup, chez la demoiselle, on retrouve du Kate Bush ou du Tori Amos, et, parmi de plus récentes références, du Regina Spektor ou Shannon Wright. Un parallèle s’établira sans doute aussi avec le nouveau PJ Harvey, qui sort ces jours-ci. A l’image de ces autres artistes, la musique de Faustine Seilman dégage une intensité affectée, aux allures cathartiques. Chaque composition, hormis de rares exceptions en forme de bulles d’air, révèle un fort potentiel de passion et de drame, parfois Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 03 45 67 www.collectif-effervescence.com - [email protected]

jusqu’à caboter dans ce sens, et paraître trop affectée. Néanmoins, le résultat de ces chansons aux intonations maniérées n’est pas sans émotion - car en dehors de cette grandiloquence un peu précieuse et trop présente, la solidité et la richesse de ces dernières n’est pas commune. autresdirections.net – Octobre 2007 J’adore les surprises, et lorsque après la publication du dossier constellation, le collectif Effervescene me propose l’écoute de Faustine Seilman, une formation nantaise qui cite A Silver Mt Zion dans ses influences, je sens déjà l’eau monter à ma bouche (ou à mes oreilles). Disque reçu, une évidence certaine : on est plutôt loin du collectif canadien, avec 12 ballades structurées autour du piano et de la voix doucement enrouée (jamais enjouée) de Faustine. Certes il y a les montées d’adrénaline façon post-rock, mais on se trouve d’avantage dans le jardin bien ordonné des Rachel’s ou la pop & post rock de Migala que dans le loft tordu des canadiens. Pourtant, je n’enterre pas le disque malgré la légère déception produite par l’effet d’annonce, moi qui imaginais déjà cris, chœurs et morceaux de vingt minutes. D’abord parce que « Silent Valley » est plaisant : bien écrit, bien réalisé, il porte les stigmates des premiers albums où la crédibilité passe par l’extinction de toute vraie folie. Il y a l’envie d’en découdre dans ces morceaux complexes aux rythmes chahutés, il y a la volonté d’imposer une forme d’écriture « à la française » (accordéon, piano et balais) mais on sent encore que le lion rugit plus fort afin de ne pas laisser voir sa fragilité. Ensuite, parce que « Silent Valley » cache derrière ses ambiances mortuaires (« The Ballad of The Starving Man »), dépressives (tout l’album) ou faussement enjouées (« Keys Are Bound To Be Found », « Nocturne, Italy Square ») une vraie richesse musicale qui tente de s’affranchir de ses références : Cat Power, Shannon Wright… Aussi, les passages intimistes ramènent de ce côté-ci de l’atlantique : on songe à Pascal Comelade dans les pianos jouets et les senzas disséminés, à Rue des Cascades de Yann Tiersen dans le duo piano violon tourmentée de « The Man Who Said No » ou au Solo Piano du « Parisien » Gonzales sur l’instrumental « Nocturne, Italy Square ». Finalement, le jeu des ressemblances s’estompe, et « Silent Valley » ne brille plus que de sa noire lumière intérieure. Distillant ce mélange imparable de pop et de neurasthénie, le premier opus des Nantais est porté par une batterie gorgée d’émotion et des canevas mélodiques élégiaques, entonnés à l’harmonium ou au violon. L’auditeur bercé pardonnera sans peine les déroulés de piano quelquefois un peu facile, car la promesse d’un groupe émouvant est bien réelle. A découvrir en concert un peu partout en France et notamment le 20 novembre au Nouveau Casino. Fluctuat.net - Octobre 2007 D’abord un grand merci à Faustine Seilman d’oser signer son premier CD du beau patronyme que ses parents lui ont donné ! A l’heure de la vague des prénoms incolores et indolores, si neutres et si socialement corrects qu’on oublie vite qui est qui et qui fait quoi, porter son nom de famille est déjà une preuve d’autorité et d’indépendance. Ceux qui la connaissent ne seront pas surpris. Faustine Seilman est telle qu’elle apparaît sur la photo de l’album, offerte à la caresse du vent, gracile et gracieuse, fragile et frêle, un roseau qui plie mais ne rompt pas, prête à résister à la tempête. Sa musique est à son image et révèle une sensibilité et une richesse intérieure qui affleurent à chaque note autant que dans l’éclat du regard, interrogateur et lucide .Faustine est incapable de facticité : elle se livre à son piano comme on se confie à un journal intime, compagnon de ses peines et de ses secrets. Il semble lui répondre, la rassurer et la guider, pour ne faire plus qu’un avec elle. Ce dialogue instauré entre la musicienne et son instrument de prédilection n’est pas la moindre des richesses de l’album. Pourtant, « Silent valley » est tout sauf l’album d’une solitaire. Le vent fait gémir le violon de Carla Pallone ; Vincent Dupas enveloppe tendrement sa compagne de sa belle voix chaude, et l’Orchestra fait résonner la vallée de murmures et de chuchotements, de cris retenus et de cris délivrés, de larmes et de rires, un ensemble impressionniste aux accents romantiques .On pense à l’univers des sœurs Brontë, que suggère aussi le tableau d’ Adélaïde Gaudéchoux, un vallon désertique où notre imagination pourrait sans peine recréer un Heathcliff désenchanté, descendant la colline des Hauts de Hurlevent , cheveux au vent sur sa monture noire ! De la ballade folk à la composition impressionniste façon Eric Satie (Nocturne, Italie Square), Faustine Seilman construit pas à pas sa propre identité musicale nourrie d’une bonne culture classique, de ses coups de cœur personnels et aussi de l’Effervescence nantaise qu’elle côtoie depuis plusieurs années .In a Silent Valley, sans doute le morceau le plus abouti de l’album, résume bien la recherche de Faustine et son désir de créer son propre paysage sonore, original et pleinement assumé. Un premier CD est rarement parfait et celui-ci ne fait pas exception à la règle. On ressent parfois le Effervescence – 29 rue de la Motte Picquet- 44100 Nantes France – (+33)6 70 03 45 67 www.collectif-effervescence.com - [email protected]

désir de trop bien faire qui nuit à la spontanéité de certains passages et encore plus à la voix, un peu contrainte. Conditionnée par sa culture classique, Faustine retient une expression qui ne demande pourtant qu’à se libérer. Elle est la cascade douce et fraîche d’un jardin à l’italienne quand tout son être veut être le torrent insoumis qui brise les ponts et engloutit les cathédrales. Parce qu’elle a du talent, Faustine Seilman a aussi le devoir de se rebeller contre le trop sage cadre où elle s’est elle-même enfermée. Il y a encore trop de monde dans sa silencieuse vallée, trop de signaux perturbateurs et contradictoires. Elle doit choisir, élaguer, trancher, au risque de se faire mal, au risque de déplaire, au risque d’être seule. Un roseau dans la tempête, qui plie mais ne rompt pas ! Les Chroniques de la Ménagère - 15 Novembre 2007. Nadine Constantino

CHRONIQUES LIVE INTERVIEWS /// Radio >>> Divergence FM - Montpellier - le 03 Novembre à l’occasion du concert au Baloard. >>> Radio Soleil – Fougères – Le 26 Novembre à l’occasion du concert au Coquelicot >>> Jet FM – Nantes - Le 12 Novembre >>> Canal B – Rennes – Jeudi 22 Novembre les Echo de l’UBU /// Télévision >>> Télénantes – Nantes - Captation du concert à fougères + ITW le 26 Novembre à l’occasion du concert à Fougères

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