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LES YEUX CLOS I — Pleure pas, Mé, pleure pas ! C'est un talheur qui devait arriver. Et puis, le médecin a d i t q u e je guérirai. — A h ! le médecin!... Te rendra-t-il ton mariage , petiote , ton mariage qui n 'est plus Dieu possible avec une pareille infirmité ! — Tu as raison , il est impossible maintenant , puisque mes yeux sont morls pour la lumière , pour le t-onheur. — Qui sait ! tout de môme. J'ai tort de te «d i re ces choses, Lison. Jacques est un honnête garçon. Peut-être , lorsq u 'il reviendra du service , persisle ra-t-il à vouloir de loi pour femme, comme il en voulait auparavant. Mais Lison eut un sourire douloureux. Dn frisson secoua ses épaules maigries , et, pas•ant ses ma ;ns tantes pâles sur ses pauvres |"eux voilés, *llt murmura : — Non , Mé, c'est fini , bien fini , car c'est moi qui no voudrai plus. _ Eoiirtanl I
— Je suis laide , je suis une charge. Jacques ne serait pas heureux a vec moi. Je lui dirai d'aller voir d'un autre côté, que je n'ai plus d'amour dans le cœur. — Tais-toi , folle. Ça reviendra l Ça reviendra ! Et la mère «3lssayai1* de «calmer l'enfaul) infirme. Elle souffrait tant, de voir sa Lison mignoninre, sa petite «cadette, aa préférée, devenue subitement aveugle, à la suite d'une mauvaise fièvre qu'elle avait eue. Tout à croup, s«3s yeux n'avaient plus eu «notion de rien, et son petit «corps grelottant, maigri, semblait une pauvre chose fanée*, à la mercâ jdu premier vent. — Est-ce triste! Est-ce triste! rabâchait Mé entre ses dents. Justement Lison allait se marier et se marier même avant Jeanne, sa sœur aînée, belle fille blonde et forte, àl l'air décidé. C'est qu'elle avait été bien jolie aussi, Lison, avant sa fièvre. Beaucoup l'avaient demandée en mariage et elle avait donné sa promease à Jacques, un riche garçon, soldat pour l'heure. Puis le mal était venu. On n'en avait point parléTà Jacxraes. A quoi bon ? On médecin avait été demandé. Il avait dit à Lison qu'elle guérirait; mais, sur le pas de la porte, tout bas, il avait «dit à Mé que les yeux de son enfala-b étaient perdus. Mé ne voulait rien croire encore. Elle avait ea tête l'idée fixe de faire venir, certain rebouteux, un bonhomme tr«5s vieux et très savapit qui habitait «ians le pays. — A quoi bon ? répétait Lisoni. — Laissez-la donc tranquille avec vos drogUeS, ajoutait Jeanne, la grande sœur, haussant les épaules, en fille qni connaissait les villes et riait des superstitions de la campagne. Navrée, la vieille mère allait et venait, ne sachant plus à quel saint se vouer, anxieuse aussi du retour de Jacques, gu'allait-il dire, quand il saurait î ¦• ¦ ¦¦ < ¦ • - ¦¦ ' _ n Il revint, beau gara, ma foi, fortifié piaf le service, l'air joyeux. Depuis un am il n/avait pas vu sa promise, l'ayant laiss«Se jolie, heureuse, bien portante. Qtianicll il fut sur le seuil'de la porte, quand tiî a «.perçait Lison, il eut un haut-le-icerpset recula. r— Est-i* Dieu possible ! :— C'est vous, Jacques î — Oui, Lison. Après un silence, une petite voix murmura, haletante, dans un souffle : — Il n'y a plus de Lison pour Vous. J'ai perdu mes yeux, j'ai perdu mon regard que vous aimiez, je suis une morte. Jacques se tut, hésitant. C'était étrange. Les yeux de LisOn semblaient presque pareils pourtant. Le voile qui les tuait se voyait à peine. Mais quelle ruine en tout son pauvre être!... Pouvait-il épouser cette infortunée î _: Enfin il grogna : — Allons !... je n'ai plus qu'à, m'en retourner ! A ce moment, dans le coin de la pièce, sur un escabeau, tout près de l'âtre, il aperçut Jeanne, la belle fille, qu'il ne «connaissait point encore, car l'année passée elle était placée servante. Elle était bien jolie ainsi, fraîche et rose, à côté de sa sœur. Elle le regardait, narquoise, semblant lui flir« :
— Etes-vous sot de partir, quand je suis là? Alors il chercha des phrases*, il balbutia des paroles douces à l'aveugle, des mots de pitié. On verrait, on attendrait, on ferait venir un médwiiis. Maintenant, il avait envie de rester.
n resta.
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Mais le premier coup était porté. Le premier mouvement de Jacques avait été deviné par Lison. Elle avait entendu la première parole qu'il avait «dite sur le seuil, son cri du «cœur : « Je n'ai plus qu'à m'en retourner. » — Pleuré naa recelait Mé.
¦= Je' né1 vois prus, mais je comprends, faisait Lison, et ce que je comprends est bien triste. Cependant, Jacques semblait avoir du regret de ce qu'il avait «dit. Solennellement, 2 promit qu'il attendrait et que si la vue de Lison revenait, ils se marierareflt aussitôt. Même il voulait donner de l'argent pour faire venir un nouveau médecin. — Non, gardez-le, répondait l'aveugle. Il vous sera plus utile qu'à moi. Et Jacques vécut là, près des trois femmes, se rendant utile, cultivant leur petit coin de terre. N'était-ce pas dommage tout de même, pensait-il, qu'il ne pût rester tout a fait et que ce projet de mariage fût brisé ! Il avait du bien, qui lui aurait permis d'arranger la petite maison de Mé, d'acheter quelques champs tout autour, d'en faire une ferme. Ah! «cesyeux, ces maudits yeux qui ne voulaient point revenir ! Lors il se dit : — Mais il y a l'autre, la Jeanne aux grands yeux, bien vivants ceux-là !... Pourquoi pas?... Un soir, il lui parla. Elle se mi'tf à rire : ' — Nigaud, ce n'est qu'à présent que vous me contez la chose ? A son tour, il rit, disant : .— C'«3st vrai. Dès le premier jour, il l'avait trouvée belle, plus belle que Lison. Dès le premier jour, elle avait chassé l'aveugle de son cœur. Us se marièrent. Mé fut contente. Au fond, Jacques ne semblait pas méchant et, ainsi, il me 1«3S quitterait paa. C'était tout profit pour la maison. C'était l'avenir assuré pour tout le monde. Lison parut indifférente à cette nouvelle. — Soyez heureux !fit-elle simplement. — Tiens, dit Jacques, comme cadeau de noces nous te donnerons une belle pièce d'or pour faire venir le médecin. .— Le rebouteux plutôt, supplia la mère. — Oui, le rebouteux, appuya Jeanne. Lison secoua la tête, incrédule. _ • j Qu'importait maintenant ? Il vint un jour, le rebouteux, pauvre vieux, Courbé par l'âge. Il fabriqua des compresses bizarres, prononça des paroles magiques. On écouta ses prescriptions et on lui donna la belle pièce d'or. Mais Lison ne guérissait pjoint. IVr Jeanne et Jacqu«3s semblaient s'aimer. La petite maison devenait peu à peu une belle ferme qui prospérait et l'on prit même des serviteurs, ce qui fit que Mé put se reposer un peu. Lison, elle, restait toujours dans son coin, silencieuse, les yeux perdus en une éternelle rêverie. Ces yeux étaient effrayants à regarder. Parfois, ils se fixaient sur Jacques, profonds, mystérieux, avec une expression singulière qui le troublait. — Laisse donc! faisait Jeanne. Ils ne vivent plus. Plus grand chose, en effet, me vivait chez la pauvre aveugle. Elle passait des journées sans parler, se faisant oublier. Elle avait eu raison de dire qu'elle était comme morte maintenant. La gaité revenait a la ferme pourtant. La culture prospérait et un gros bambin arriva. Jeanne le donnait à bercer à Lison , souVent des heures entières, pendant qu'elle allait avec Jacques, danser à la ville. — Pauvre fille ! disait Mé, tu n'as pas de chan«ce. Dire que le rebouteux lui-même ne t'a paa guérie... Lison ne répondaitrien. V, Or, il arriva un jour qne Lison se sentit mourir. La fièvre ou quelque chose d'approchant la reprenait. On la soigna tant que l'on put, mais le mal ne fit qu'empirer. Alors Mé eut une idée, une grande idée. Elle avait appris que depuis peu, dans un château voisin, venait d'arriver un homme très savant, un grand chirurgien, qui faisait beaucoup de bien dans le navs. , .,
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ADMINISTRATION et
B U R E A U X DE RÉDACTION Rut dn Marché a* t Il stra rendu compte de tout ouvrages dont deux e x e m p l a i r s , f eront adressés à la Rédaction.
Elle prit son plus beau fichu, ses sabota neufs et s'en alla lu) demander de sauver son enfant qui se mou,:ait. Dans la petite ferme coquette, tout ensoleillée, il vint avec sa bonne figure d'aïeul,son front large couroniné de cheveux blancs,' ne demandant pas mieux que dé soigner cette petite malade. Paternellement, il s'approcha d'elle. Q l'ausculta, il examina ses yeux. — Eh bien ? demaitfia Mé anxieuse. Sa fi& vre, n'est-ce pas ? Le docteur étonné regarda la vieille pajr.j¦ anne. — Mais, elle n'a pas de fièvre. C'est lé cœur qui est pris. Elle a dû avoir un gros chagrin... Convulsivement Liseur tremblai. — Le chagrin d'être aveuglé, continua' Mé. — AveUgle!... fit le docteur. Elle ne l'esti pas. Elle ne l'est plus. Ses yeux ont dû être voilés, il y a quelque temps, mais le voile a été chassé par un remède énergique. J'en retrouve les traces. Cette enfant voit. — Elle voit ! s'écria Mé toute j oyeuse. Lô rebouteux, le rebouteux!... Mais comment n'a-t-elle rien dit ? Comment a-t-elle continué de nous faire croire... Alors, avec une indicible expression dé tristesse, Lison se souleva sur son oreiller, pour montrer du doigt, dans la oour, Jacques qui rentrait... 'r Henry de FORCE. ]
Nouvelles étrangères
France PARIS, 23 décembre. — Cest ce soir mardi seulement que M. Hennion partira pour Madrid, où il va chercher les membres de lai famille Humbert qui lui seront remis par, la police espagnole. MADRID, 23 décembre. — L'auteur dé la lettre anonyme adressée à l'ambassadeur de France ser.ait un locataire de la maison de la rue Ferraz habitée par la famille Humbert. — Le dossier pour l'extradition des Humbert est «complet. Le départ des prisonnier^ aura lieu demain ou après-demain. Espagne BARCELONE, 23 décembre. — Le « Duo di Galiera », venant de Buenos-Ayreset transportant plusieurs anarchistes expulsés de la République Argentine, est arrivé lundi à Barcelone. Le préfet de police a défendu le débarquement des passagers et le vapeur a continué sa route pour Gênes. 'Les anarchistes espagnols rapatriés récemment d'Amérique ont été laissés en liberté.' Le gouverneur de Barcelone les à autorisés à choisir le lieu de leur résidence; la plupart ont choisi Bar celone. Ils y sont sous la surveillance des autorités. Angleterre Lord Carnarvon , au cours d' un voyage qu 'il vient de fa i re de Pa ris à Londres , a élé victime , pendant le trajet , d' un vol de bijoux considérable. On évalue à cent mille francs le montant de ce vol audatienx. La police de sûrelé anglaise a été immédiatement avisée et , après avoir commencé des recherches , restées jusqu 'ici infructueuses chez tons les bij outiers et les prêteurs sur gages, elle a transmis à la police française la liste et la description des bijoux volés, pour que ce» mêmes recherches soien t fa i tes à Paris. Canfttia On mande de Québec que le fils de MiWilliam Beatie, âgé de trois ans, ayant eu un bras et une partie du dos entièrement dépouillés à la suite d'une chute dans un grand récipient rempli d'eau bouillante, à Sherbrooke, le docteur D.-L Johnson eut l'idée de lui gref!er di la peau de grenouille sur les parties à vif, L'opéra tion a réussi avec n>n pkin succès et intéressé beaucoup le corp* médical de la province de Québec
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L,e IReti t JSToël Gomme Mlle Lisette, jeune personne de huit ans, tr«3S avisée et très réfléchie, se pelotonnait dans son lit, pendant que la femme de chambre bordait les couvertures, elle dit à celle-ci : — Dis donc, Victoire, tu y crois, toi, an petit Noël ? — Mais certainement, mademoiselle, que j'y crois. — Ah! comment est-il, le p«etit Noël ? Tu l'afe vu? — Non mademoiselle, mais, je sais qu'il est comme^ *un ange, avec des cheveux blonds . boudés et des grandes ailes. — Si tu ne l'as pas vu, coimlment le sais-tu? — Je l'ai vu isur les images. -7- Ah!... Dis donc, Victoire, les joujoux qu'il apporte aux petits enfants, où les prendil ? — Mademoiselle, vous m'en demandez trop long;je n'en (Sais rien. — Il les prend dans le ciel, dis? — Certainement qu'il les prend danis le ciel. — Si tu n'en tsais rien, pourquoi dis-tu : « Certainement » ? Victoire commençait à être embarrassée. — Voyons, mademoiselle, fit-elle, il faut dormir; il est déjà neuf heures et demie, Bi vous ne vous endormez pas, le petit Noël ne vous apportera rien. La jeune Lisette, devant cette menace, ferma les yeux un.moment, puis : — Dis donc, Victoire, pourquoi le ipetit Noël ne rm/apportera-t-il rien pi je ne dors pas ? — Parce que. — Il ne veut pas qu'on le vbieï — Probablement. — Pourquoi? Il ne fait pas de mai. Cette logique d'enfant embarrassait beaucoup ha bonne, qui prit le parti de ne pas répondre. — Dormez, mademoiselle, reprit-elle. Mais la jeune Lisette réfléchissait : — Victoire? — Quoi ? — Ecoute, approche-toi.. Et quand la bonne se fut approchée du lit : — Tu tsais, je n'y crois pa«s, au petit Noël — Oh! mademoiselle! — Seulement, ne le dis pas, parce que maman ne mettrait 'plus rien clans mon soulier. Et, soulagée par cette oor. "Science, la petite Lisette se retourna «dans son lit; le marchand de sable venait de passer, elle ferma les yeux et, cette fois, (s'endormit 'pour tout de bon. (« Revue du dimanche»). H. HARDUIN.
Noël suisse 1902 La Société Genevoise d'édition vient de résoudre un difficile problème : faire toujours mieux en diminuant le prix Son lYoël suisse 1902. qui vient de paraître, est un fascicule admirablement réussi et qui aura certainement un gros succès Les gravures sont vraiment fort belles et à la hauteur de ce qui se fai t de mieux dans les grands pays qui nous avoisinent * preuve en soient les planches hors texte en couleurs et la reproduction de tableaux de Giron. Burnand . Zûnd , Muller . les illustrations inédites d'Evert van Muy den, de V de Mestral et les gravures qui illustrent le texte. A noter aussi dans ce domaine le résultat de l'intéressant concours de cartes postales ouvert par le Noël suisse. Le texte se lira avec intérêt une nouvelle inédile de A. -M. Gladés, des articles sur la Croix-Rouge , sur l'Escalade , sur le Centenaire vaudois. signes E. Kuhne et A. Bonard , des poésies , une chasse à l'ours en Savoie de E Maison . une étude sur la pyrogravure de M Hantz , directeur du Musée des arts décoratifs de Genève, et d' autres que nous ne pouvons mentionner ici. L'édition sera vite épuisée : ceux qui veulent se Srocurer le Nofil suisse avant les fêtes feront bien e se hâter. La Semaine littéraire revêt pour Noël un habit de fête Sous une élégante couverture de papier fan taisie, ti rée en deux tons, elle publie , à la date du 20 décembre , un numéro spécial, considérablement augmenté, qui nous parait appel é à un grand succès. Beaucoup de nos écrivains les plus aimés, et aussi quelques étrangers et non des moindres — saluons en passan t les noms de MM. André Theuriet , Paul et Victor Margueritte. Tolstoï , Edouard Estaunié. Fogazzaro . Anatole Le Braz , C. Wagner , de Mmes Dora Melegari et Georges de Peyrebrune . ont envoy é pour ce numéro des souvenirs inédits de leurs années d'adolescence. A ces pages, les unes amusantes, d'autres mélancoliques , presque toutes empreintes de là poésie des premières impressions, sont joints des portraits des écrivains eux-mêmes à cet âge tendre qui va de la quinzième à la vingtième année. C'est une galerie nombreuse et orig inale de jeunes visages, où voisinent MM. Philippe Godet , Ed. Secretan , Ernest Naville, Alber B mnard , Emile Yung. Eugénie Pradez , Isabelle Kaiser, Gaston Fiommel, Edouard Rod , etc., etc. L'administration de la «Semaine » (Boulev. du Théâtre 4, Genève) fournira gratuitement sur demande ce numéro spécial à toute personne souscrivant un abonnement d' un an à la Revue (6.50).
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M. Paul PEYTREQUIN , llna «t spWtueux, bureaux rue Neuve 9, au rime étage, est toujours acheteur de futaille française, ainsi gue da litres et bouteilles vides. 8797-7
THEATRE de la Chaiix-de-Fonds
BRASSERIE LAUBSCO
Brasserie MOLLES Frères I f •Qiud «Coûta 3 Soirès extraorUnairs ^ Les deux Orphelines !î Bock-Bier f ! VICTORIA Direction : M. Bressy-Bonnell y.
12, RUE DE LA SERRE 19.
Rideau, 8 h. Bureau , 7 '/, h- " •Jeudi 25 Décembre
•Jeudi.) Samedi , Diiu n à 8 h. du soir
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Première représentation de
Pendant les Fêtes !
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a
donné psr la rtnommee Tronjn
Grand drame en 5 actes et 8 tableaux par d'Ennery.
Yii l'importance de cet ouvrage , il sera représenté seul -ri*--^ Pour plus de détails, voir les affiches et programmes. isosa-i Billets à l'avance au magasin de tabacs C. BOURGEOIS, bâtiment du Casino. La Salle sera chauffée.
BRASSEROU SQUARE
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